« Le Passé », Prix du Jury oecuménique 2013 — Diocèse de Saint-Denis-en-France

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« Le Passé », Prix du Jury oecuménique 2013

A Cannes, le Jury oecuménique a attribué son Prix 2013 au film de Asghar Asghar Farhadi, « Le Passé ». « Soshite chichi ni naru » et « Miele » ont reçu chacun une mention spéciale.
Publié le 29/05/2013

« Le Passé » de Asghar Farhadi

Comment assumer sa responsabilité pour les erreurs du passé ? Sous forme de thriller, le réalisateur montre la vie d'une famille recomposée, où les secrets de chacun et la complexité des relations se dénouent peu à peu. Un film dense, profond et attachant qui illustre bien ce verset : "La vérité vous rendra libres" (Jean 8, 32).

Par ailleurs, la comédienne Bérénice Bejo a reçu le Prix d'interprétation féminine de la part du Jury présidé par le réalisateur américain Steven.

Synopsis. Après quatre années de séparation, Ahmad arrive à Paris depuis Téhéran, à la demande de Marie, son épouse française, pour procéder aux formalités de leur divorce. Lors de son bref séjour, Ahmad découvre la relation conflictuelle que Marie entretient avec sa fille, Lucie. Les efforts d’Ahmad pour tenter d’améliorer cette relation lèveront le voile sur un secret du passé.

Télécharger le dossier de presse (entretiens réalisateur, acteurs...)

Deux mentions spéciales

« Soshite chichi ni naru » (Tel père, tel fils) de Hirokazu Kore-eda
À partir de quel moment un père devient-il réellement un père ? Deux couples issus de milieux sociaux différents découvrent que leurs fils ont été échangés à la maternité. Le film pose de façon simple et subtile un dilemme humain : les liens du sang sont-ils plus importants que l'amour qui les a unis pendant sept ans ?

Il a été aussi distingué par le Prix du Jury présidé par Steven Spielberg.

« Miele » de Valeria Golino (Un Certain regard)
Le film offre un regard complexe et sans préjugés sur le thème actuel de l'euthanasie. Avec pudeur et maîtrise, le réalisateur partage avec le spectateur les doutes et le malaise d'une jeune femme qui aide les malades en phase terminale à mourir : à chacun la liberté et la responsabilité de prendre position.

(Source : site Internet Eglise catholique)


Site du Jury œcuménique