Chaque groupe de travail a remis un rapport d’environ 4 pages résumant ses échanges sur la première partie du document de travail du synode (Instrumentum Laboris).
Plusieurs groupes ont ainsi déploré l’image trop souvent négative véhiculée sur le mariage au lieu de le promouvoir en mettant en avant ses points positifs. De plus, plusieurs d’entre eux jugent aussi le texte trop abstrait dans la manière dont il évoque la famille et suggèrent donc des reformulations.
D’autre part, presque tous les groupes ont exprimé le souhait d’une réflexion plus poussée sur l’idéologie du genre et la majorité note la responsabilité des « politiques publiques » envers les familles.
Face au défi que représente l’universalité de l’Église et au besoin de s’adresser aux familles du monde entier, certains ont proposé de donner plus de poids aux conférences épiscopales à un échelon national.
Même si les synthèses des groupes formulent déjà des propositions sur les différents sujets abordés, tous s’interrogent sur la manière avec laquelle ils vont pouvoir achever l’examen de la totalité du document de travail et sur l’utilisation qui sera faite de leurs propositions.
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