Travail solidaire de jeunes au Congo Brazzaville... Journal de bord — Diocèse de Saint-Denis-en-France

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Travail solidaire de jeunes au Congo Brazzaville... Journal de bord

Du 24 juillet au 9 août 2017, une quinzaine de jeunes adultes venus de plusieurs villes de France - dont 4 de La Courneuve - réalisent un chantier solidaire dans un établissement fondé par les Fils de la Charité (de 1 400 élèves dans un quartier très pauvre).
Publié le 03/08/2017

Cette aventure humaine et spirituelle, accompagnée par le père Georges Ouensavi, Fils de la Charité à La Courneuve, a été possible grâce aux dons reçus par une plateforme participative...

Le journal de bord
 

Pourquoi un camp de jeunes au Congo Brazzaville ?

- Pour se laisser dépayser par un pays du Sud, par des peuples différents, participer à un "chantier de travail"... la réfection d’une école,
- Pour vivre un temps fort : réfléchir, prier, mieux connaître Jésus-Christ, se poser la question des projets de vie,
- Pour comprendre les questions du développement : découvrir et partager les conditions de vie des congolais, rencontrer des ONG, partenaires du développement : rencontrer des chrétiens, des musulmans, des animistes, découvrir l'Eglise du Congo,
- Pour élargir son champ de vision, ses façons de voir et de comprendre les autres et le monde.
 


Photos : Georges Ouensavi, fc

Un chantier au Congo-Brazzaville avec des jeunes
Du 24 juillet au 9 août, le père Georges et une équipe de dix jeunes adultes, dont quatre de La Courneuve, mettront le cap sur le Congo-Brazzaville pour remettre en état une école de 1 400 élèves dans un quartier déshérité de la périphérie de Brazzaville.
Tous les matins, ils donneront un coup de peinture dans une école, les après-midi seront consacrés à la visite d’orphelinats et de personnes âgées. Une semaine placée sous le signe de l’ouverture et de la prise de responsabilité.
C’est aussi un moyen de prendre un peu de recul : « Nous ne sommes pas les plus pauvres de la planète. Nous avons la chance d’être en France et d’avoir une école gratuite à côté de chez nous », explique le prêtre. Le voyage a été financé grâce à l’Évêché, la congrégation des Fils de la Charité, des dons de particuliers, mais aussi via une plateforme participative.
Le Parisien.fr / 17/07/17