Fête de la Miséricorde Divine — Paroisses d’Épinay-sur-Seine et de Villetaneuse

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Fête de la Miséricorde Divine

Cette fête a tout d'abord été instituée en 1985 pour l’Archidiocèse de Cracovie.
Puis, en 1995, le Pape Jean Paul II l’a étendue sur tous les diocèses de Pologne.
Le 30 avril 2000, le deuxième dimanche de Pâques, jour de la canonisation de sainte Faustine à Rome, le Pape Jean Paul II l’a instituée pour toute l’Église.
Publié le 12/07/2019

Origine de cette Fête

Durant sa vie, Helena Kowalska (Soeur Faustine) a eu plusieurs apparitions du Christ .

Le Seigneur Jésus-Christ lui a dit :

«Je désire que le premier dimanche après Pâques soit la fête de la Miséricorde».

"Je désire que la fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde; toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur punition; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces".

Préparation à cette fête

Une neuvaine sera récitée à partir du vendredi saint pendant 9 jours.

Le Chapelet à la Divine Miséricorde y sera récitée accompagnée de prière prévues à cet effet.

Le Seigneur Jésus-Christ a dit à Soeur Faustine :

"Je désire que, durant ces neuf jours, tu amènes les âmes à la source de Ma miséricorde, afin qu’elles y puisent force et soulagement, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les difficultés de la vie, et particulièrement à l’heure de la mort. Chaque jour, tu amèneras à Mon cœur un groupe d’âmes différent et tu les plongeras dans l’océan de Ma miséricorde. Et Moi, je les ferai entrer toutes dans la demeure de Mon Père. Tu feras cela dans cette vie et dans l’autre. Je ne refuserai rien aux âmes que tu amèneras à la source de Ma miséricorde. Chaque jour,  tu imploreras Mon Père, par Mon amère Passion,  d’accorder des grâces pour ces âmes-là »

« Pendant cette neuvaine j’accorderai aux âmes toutes sortes de grâces ».

Le chapelet et la neuvaine peuvent être priés également en dehors de cette Fête durant l'année.

Quelques grâces promises

Le Seigneur Jésus-Christ a dit à Soeur Faustine :
« Récite constamment le chapelet que je t’ai appris. Quiconque le dira obtiendra une grande miséricorde à l’heure de sa mort. Les prêtres le donneront aux pécheurs comme leur dernière planche de salut ; et même le pêcheur le plus endurci, s’il dit ce chapelet une seule fois, recevra la grâce de mon infinie miséricorde. Je désire que le monde entier connaisse ma miséricorde ; je désire accorder des grâces inconcevables aux âmes qui ont confiance en ma miséricorde ». (Petit Journal, 687)
« À l’heure de la mort, je défendrai comme ma propre gloire chaque âme qui récitera ce chapelet elle-même ou bien si d’autres le récitent près d’un agonisant – l’indulgence est la même. Quand on récite ce chapelet auprès d’un agonisant, la colère divine s’apaise, une insondable miséricorde s’empare de son âme et les entrailles de ma miséricorde sont émues par la douloureuse Passion de mon Fils.» (Petit Journal, 811)

« Les âmes qui réciteront ce chapelet seront enve­loppées par ma Miséricorde pendant leur vie et surtout à l’heure de la mort.» (Petit Journal, 754)

« Par ce chapelet tu obtiendras tout, si ce que tu demandes est conforme à ma volonté » (Petit Journal, 1731).

« Ma fille, incite les âmes à dire ce chapelet que je t’ai donné. Il me plaît de leur accorder tout ce qu’elles me demanderont en disant ce chapelet. Lorsque les pécheurs endurcis le réciteront, j’emplirai leur âme de paix et l’heure de leur mort sera heureuse. Écris cela pour les âmes affligées : lorsque l’âme verra ses péchés et en mesurera le poids, lorsque se dévoilera à ses yeux tout l’abîme de la misère dans laquelle elle s’est plongée, qu’elle ne désespère pas, mais qu’elle se jette avec confiance dans les bras de ma Miséricorde, comme l’enfant dans les bras de sa mère bien-aimée. Ces âmes-là ont la priorité dans mon Cœur rempli de pitié. Elles ont la priorité sur ma Miséricorde. Dis-leur qu’aucune âme faisant appel à ma Miséricorde n’a été déçue, ni n’a éprouvé de honte. Je me complais particulièrement dans l’âme qui fait confiance à ma Bonté. Écris : si l’on récite ce chapelet auprès d’un agonisant, je me tiendrai, entre le Père et l’âme agonisante, non pas en tant que Juge Juste, mais comme Sauveur Miséricordieux » (Petit Journal, 1541).