20 mars : journée nationale de prière pour les personnes victimes — Diocèse de Saint-Denis-en-France

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20 mars : journée nationale de prière pour les personnes victimes

Communiqué de la conférence des évêques de France (CEF) à l'occasion de la journée nationale de prière pour les personnes victimes de violences et agressions sexuelles et d’abus de pouvoir et de conscience au sein de l’Église.

Communiqué de presse

Paris, le 17 mars 2022

 
Dimanche 20 mars :
journée nationale de prière pour les personnes victimes
de violences et agressions sexuelles et d’abus de pouvoir
et de conscience au sein de l’Église

Dimanche 20 mars, aura lieu la première journée nationale de prière pour les personnes victimes de violences et agressions sexuelles dans l’Église. Elle aura pour thème « Témoins pour une vie nouvelle » et se vivra dans les diocèses selon des modalités variées.

En mars 2021, les évêques réunis en Assemblée plénière ont voté une série de 11 résolutions, dont la 8e fait écho à l’invitation du pape François à vivre une journée de prière pour les personnes victimes de violences et agressions sexuelles et d’abus de pouvoir et de conscience au sein de l’Église. En 2022, le thème retenu pour cette journée est : « Témoins pour une vie nouvelle ».

Plusieurs personnes victimes-témoins et des membres de services de la CEF : le Service National de la Catéchèse et du Catéchuménat, le Service National de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle, le Service National pour la Protection des mineurs, ont élaboré ensemble différents outils, mis au service des communautés locales, pour vivre et animer cette journée : des intentions de prière universelles pour la messe du dimanche, un chemin de croix à méditer, un livret de prière pour cheminer

Les communautés sont invitées à s’approprier librement ces propositions pour que, ce jour-là, sur le chemin vers Pâques, tous puissent porter dans la prière les personnes victimes.

« Cette journée se situe au moment du Carême, période liturgique de conversion, d’un retour à Dieu. C’est pour nous l’occasion de reconnaître notre péché, reconnaître que nous n’avons pas su écouter, protéger, alerter, dénoncer, reconnaître que tant d’abus ont été faits au sein de l’Église. »

                            Père Hugues de Woillemont 
    Secrétaire général et porte-parole de la CEF

 

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