Le Concile Vatican II qualifiait de « crime contre Dieu et contre l’homme lui-même » (Gaudium et spes, 80) tout emploi d’armes de destruction massive, même en cas de légitime défense, parce que disproportionné et non discriminant. Mais si l’emploi de telles armes est condamné, qu’en est-il de leur possession dans un but dissuasif ?...