Beaucoup de jeunes ont fait a connaissance de Ladji Diallo à la Toussaint lors du rassemblement « Holy date » sur l’esplanade de Bondy et à l’église Saint-Pierre…
Ladji Diallo porte un ancien prénom arabe qui signifie « celui qui fait le pèlerinage ».
Né en banlieue parisienne, élevé dans une famille malienne de sept enfants, Ladji a grandi dans la religion musulmane, bercé par Goldorak et Tex Avery, la bagarre et le théâtre. Il a suivi les cours d’art dramatique de Paris VIII, ainsi que des stages auprès de Bakary Sangaré, Pépito Matéo, Hassan Kouyaté… Il se convertit à l’adolescence au catholicisme. Puis il fait le voyage à l’envers jusqu’au Mali, en pays dogon, pour découvrir ses racines. Son univers se situe entre Afrique et France, humanité et spiritualité, blessures et espérance. C’est un créateur d’images qu’il anime au son de sa guitare et de sa voix chaleureuse.
Dans ce premier album, ce jeune artiste de 31 ans chante sa quête spirituelle, entre sa culture occidentale et ses racines africaines.
Le Prix de musique spirituelle
C’est pour faire mieux connaître ceux qui « chantent Dieu » que Pèlerin et la librairie La Procure ont décidé de créer ce nouveau Prix de musique spirituelle. Parmi la production de l’année faisant appel à la composition ou à l’interprétation, le jury a eu à distinguer l'enregistrement témoignant de l'actualité de la spiritualité dans l'expression musicale.
Le comité :
Faustine Fayette, journaliste indépendante : Radio Notre-Dame et Famille chrétienne ; Dominique Fournier, disquaire à La Procure Paris ; Magali Germain, journaliste à Il est vivant et L'1visible ; Christophe Henning, journaliste à Pèlerin ; Robert Migliorini, assomptionniste, journaliste.
« Fils de lumière » (Bayard Musique) - 17,50 euros.
Ecouter quelques morceaux sur Deezer
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Retour sur le festival chrétien « Holy date »
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